Les saluts d’Emmanuelle Bertrand et de Didier Sandre à la fin du « Violoncelle de guerre » donné le samedi 1er décembre 2018 en l’église Notre-Dame de Bethléem. Un spectacle riche d’émotion et de beauté. La voix de Didier Sandre, tour à tour grave, enjouée, sereine ou révoltée a su transmettre toutes les facettes du violoncelliste Maurice Maréchal, artiste jeune et bouleversé par la Grande Guerre de 14-18. Emmanuelle Bertrand, grâce à son immense talent, a fasciné littéralement son auditoire par la sonorité puissante, généreuse, charnelle ou aérienne qu’elle déploie sur ses deux instruments ; une belle occasion de découvrir sous ses doigts les créations de Pascal Amoyel et les œuvres emblématiques de Britten, Henze ou Bach.
Sur ce cliché, le « poilu », réplique du violoncelle de Maurice Maréchal, est entre les mains de Didier Sandre.
Le violoncelle de guerre